Road-Trip – Voyages et émotions au fil des routes

Cette photo, prise en avril 2023 lors d’un road trip familial au Maroc, capture le moment où nous arrivons à Fès, après des kilomètres d’aventure sur les routes marocaines. La silhouette de notre chauffeur, la vue imprenable sur la ville et le contraste entre le palmier reflété dans le rétroviseur et l’horizon chargé d’histoire, racontent l’émotion unique de chaque étape.

Avec 3000 km parcourus en 10 jours, chaque arrivée était marquée par une anticipation vibrante et un émerveillement renouvelé. Premiers Regards sur Fès immortalise cette rencontre entre mouvement et destination, entre l’intime de l’habitacle et l’immensité du paysage marocain, entre le passé dans le rétroviseur et la ville, notre futur.

Cette photo, prise en avril 2023 à travers la vitre d’une voiture traversant les collines marocaines, évoque une perspective aérienne presque irréelle. Les collines s’étendent à perte de vue, comme si elles murmuraient des récits anciens au-delà de l’horizon.

Ce voyage familial de 10 jours, organisé pour mes fils Louis et Thomas, avait une signification profondément émotive : leur faire découvrir le Maroc, terre d’origine de leurs grands-parents paternels. Nous avons, pour cela, parcouru les lieux marquants des 30 premières années de la vie de mes parents, accompagnés d’Éléonore, ma compagne, de son fils Martin, et de mes parents eux-mêmes, afin decréer et partager un pur moment familial.

Le bras d’Éléonore visible sur cette photo ajoute une dimension intime à cette scène. C’est un regard partagé, une fenêtre ouverte sur un paysage chargé d’histoire, où passé et présent se rejoignent. Cette image capture à la fois l’immensité des terres marocaines et l’émotion de renouer avec ses racines.

Capturée une nuit de 2022 sur la digue de Lion-sur-Mer, cette photo dégage une atmosphère mystérieuse et introspective. Une personne, éclairée par la lumière rougeoyante du manège, marche lentement, semblant se diriger vers un ailleurs.

Cette image invite à la réflexion : qui est cette silhouette ? Où va-t-elle ? La chaleur des tons orange et rouge éclaire à la fois la scène et l’imagination, créant un contraste saisissant avec la froideur de la nuit environnante. Les lampadaires, alignés comme des sentinelles silencieuses, accompagnent cette marche dans l’obscurité.

Au-delà des Lumières capture un moment suspendu dans le temps, où l’histoire de cette personne s’écrit sous les lueurs vibrantes de la nuit. Une œuvre qui résonne comme un appel au voyage, physique ou intérieur.

Capturée au lever du jour sur le col d’Ispéguy en août 2022, cette photo est le reflet d’un moment intime et profondément apaisant. Lors d’un road-trip de deux semaines et demie à travers le Pays Basque, je cherchais à me recentrer, à me reconnecter à moi-même et à la nature.

En ouvrant le coffre de ma voiture ce matin-là, la vallée s’est dévoilée sous mes yeux, baignée dans les premières lueurs du soleil. La Lumière d’Ispéguy incarne ce moment suspendu, où le monde semble ralentir, offrant un spectacle d’une simplicité éclatante. Une invitation à l’éveil, à la contemplation et à l’harmonie avec son environnement.

Cette photo, prise en septembre 2024 sur les planches de Deauville, capture un instant rare de calme et de sérénité. Habituellement bondées, les planches de Deauville sont juste de l'autre côté du mur. Ce lieu emblématique se dévoile ici dans un silence presque déroutant. Les colonnes alignées, les jeux d’ombres et de lumières, et les contrastes subtils de couleurs confèrent à cette scène une atmosphère à la fois reposante et mystérieuse.

À la fin d’un après-midi, ce décor ordonné et déserté invite à une réflexion : est-ce une invitation à la tranquillité ou une représentation d’une solitude angoissante ? Lignes et Lumières de Deauville explore ce paradoxe et offre une nouvelle perspective sur un lieu pourtant si connu.